Sortir de la matrice des conditionnements

Dans la tête d'un humain absorbé par la matrice (des 0 et des 1)

En tant que thérapeute holistique j’accompagne les individus à atteindre un bien-être global, englobant les aspects physique, psychique, émotionnel, mental et spirituel.

Pour une transformation véritable et durable, il m’est apparu de plus en plus crucial de travailler également sur les croyances personnelles, les idéologies politiques, les préjugés sociétaux et culturels, ainsi que les conditionnements sociaux.

En effet, j’ai assez vite compris que les personnes sensibles à mon message, via ma chaine youtube, et mon livre, étaient pour la plupart des êtres plutôt atypiques qui souffraient profondément d’avoir du se conformer depuis l’enfance.

Ne se reconnaissant pas elles-mêmes dans leur individualité originale, ayant été conditionnées pour la percevoir davantage comme un handicap que comme une force, la plupart avaient fini par abdiquer face aux « Qu’en dira-t-on? » de tous ordres, plus ou moins consciemment.

L’autocensure intériorisée ainsi que tous les verrous mentaux et émotionnels qu’elle génère, avait souvent fini par les pousser à bout dans un état de dépression de fond. Cette coercition qui avait fini par étouffer leur puissance de vie. A s’empêcher en permanence de penser authentiquement, c’est-à-dire en dehors des sentiers battus, certains avaient même fini par développer des troubles chroniques au niveau physique. Les solutions conventionnelles proposées pour ces troubles psycho-somatiques sont bien précaires tant que la racine de ce mal-être n’est pas vue clairement.

Or, pour moi, les êtres catalogués d’atypiques, inadaptés à la société et ses modes de pensées, sont tout simplement des pionniers. Tant que ce n’est pas reconnu par eux-mêmes, et assumé, leur mal-être est intense. Mais quand cela s’opère, quelle vie de libre déploiement ils peuvent mener !

Les mémoires karmiques et trangénérationnelles m'ont montré à quel point les carcans sociaux et politiques ont un impact sur l'histoire de notre âme

Dans mes lectures d’âmes à travers les guidances, et les séances en direct, qu’est-ce qui ressort le plus souvent ?

Des histoires de clans, de rejets, d’exclusion, de domination religieuse, d’enfermements politiques, de conflits entre la vie privée et la vie publique, de condamnations, de jugements étatiques, de mise à mort symboliques ou réelles, d’ostracisme, de trahisons forcées, de liberté volée, de mensonges dans lesquels nous nous sommes tous laissés à un moment ou à un autre piégés, la lâcheté de ne pas avoir pu dire non à un groupe pour vivre une vie libre avec l’être aimé, des vies assombries lorsqu’un père, un fils, un frère est obligé de partir se sacrifier à la guerre pour un état, un clan ou une religion.

Tout ceci n’a rien de personnel, mais concerne de façon globale le rapport de l’individu à une famille,  un groupe, un clan, une nation, une idéologie.
Au fur et à mesure de ma pratique, j’ai été bel et bien obligé de constater à quel point le politique, on ne peut pas le négliger ! Il est là, partout.

Que de traumatismes ayant des résonances dans nos vies personnelles et dans nos familles, qui ne viennent que  de la condition d’une humanité assujétie à des diktats, des dogmes, des coercitions.

Je ne suis pas le seul à penser, que nous avons aujourd’hui les outils et les compréhensions pour opérer, collectivement, un véritable saut. Et j’en suis d’autant plus certain que tout ceci ressort de nos jours avec une acuité inégalée en raison de la mondialisation. Cela nous permet de le voir.

Le mental, tellement négligé dans la thérapie spirituelle : et si on s'en occupait ?

Femme la soixantaine souriante, vêtue de couleurs vivres (chapeau jaune, grosses lunettes bleues, veste turquoise, foulard orange), sur fond rose mentionnant "et puis un jour ..."

Je dis souvent que pour moi il n’y pas de différence entre la véritable philosophie et la véritable thérapie.

La recherche de la vérité et de la sagesse, sens du mot philosophie, consiste à aller vérifier que ce que nous  prenons pour des vérités évidentes, ne sont pas de simples préjugés et des croyances. C’est le principe de la tabula rasa, table rase, que l’on retrouve chez Platon, les stoïciens, et dans le fameux Discours sur la méthode de Descartes.

Ces préjugés et opinions nous viennent des illusions des sens, d’une expérience parcellaire qui nous amène à faire des généralisations abusives, mais surtout des discours et dogmes auxquels il nous est demandé d’adhérer, au sein d’une famille, d’une culture, d’une religion, d’un groupe idéologique qui se croit exclusivement dans le vrai.

Ainsi, nous vivons dans l’illusion de penser par nous-mêmes, en utilisant les catégories, les représentations, et tout un système de croyances que nous prenons pour le réel.

Mais il est des moments où la vie, nous oblige à reconsidérer la véracité absolue de tout ce à quoi nous avons donné notre assentiment pour appartenir à un monde : celui, étriqué, de ce qui nous est habituel.

Comme on dit de façon courante, nous sommes obligés de sortir de notre zone de confort mentale, et cela représente une crise profonde qui nous amène à nous ouvrir au nouveau.

C’est alors que nous devons analyser rationnellement le bien-fondé de ce qui s’avère être des préjugés implantés et que nous avons dû entretenir, souvent pour ne pas déplaire, et ne pas mourir du rejet des autres.

Ces conditionnements sociaux, idéologiques et mentaux, tous ces « il faut », tu dois »,  » tu ne peux pas », nous commençons à apprendre à les regarder, pour discerner leur racines et les fruits qu’ils produisent.

C’est alors que commence à s’opérer la transmutation de ce que j’appelle dans Alchimie de soi-même, les amalgames. Tout ce qui nous colle au mental et au corps, ces formes-pensées et émotions auxquelles nous nous sommes agrégés et identifiés, comme s’il s’agissant de nous.

C’est la magie du processus de de l’individuation, tel que décrit avec tant de génie par Jung.

Papi dynamique en tshirt orange chantant dans son micro "on s'en fout !"

Le grand enfumage de la liberté de pensée et du progressisme

Je constate aujourd’hui comment la coercition mentale opère insidieusement sous couvert de belles valeurs.

Le vocabulaire du développement personnel s’est intégré dans le marketing, dans le management et même dans le parler des politiques.

La bienveillance est mise à toutes les sauces. Le respect des différences confine à l’injonction à tout accepter de peur d’être taxé d’intolérance. La culpabilité de la
bien-pensance s’est substituée à celle des églises. Et des thérapeutes et coachs s’érigent en gourous culpabilisants tout en critiquant la religion, rendant des êtres en fragilité dans une dépendance, tout en prétendant vouloir les libérer.

Une grande religion sans Dieu et sans transcendance, celle d’un conformisme d’autant plus puissant et trompeur qu’il se présente sous les traits de l’amoralité et du n’importe-quoi.

J’estime que nous ne pouvons plus, aujourd’hui nous voiler la face sur tout ce qui est à l’oeuvre. Et que nous avons suffisamment, de vies en vies, donné notre pouvoir, et cédé à la culpabilité.

C’est pourquoi, j’aborde en ce moment des sujets plus généraux, en tant que thérapeute holistique et philosophe, sans distinguer les deux.

Et c’est la raison pour laquelle j’ai créé mes deux programmes NON-CONFORME ! et LES DRIVERS, çA SUFFIT ! :

Le vilain petit canard avec sa maman et sa fratrie

Non conforme : transmuter le vilain petit canard en Maverick

Programme
Petite fille assommée par les drivers psychologiques : "fais vite", "fais plaisir", "fais des efforts", "sois fort", "sois parfait"

Les drivers : ça suffit !

Programme

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